MOTOBÉCANE et M MOTOBECANE
sont des marques déposées de MBK Industrie. Toute reproduction sans
autorisation est interdite.
Création de la marque
Motobécane
(Didier Mahistre)
Les hommes de la Motobécane
Abel Bardin Charles
Benoît Jules
Benezech
Le 11 décembre 1924 chez Me Manceaux notaire à
Pantin, s’associent MM. Abel Bardin ; Charles
Benoît et Jules Benezech pour constituer
entre eux à compter du 1er octobre 1924
jusqu’au 30 décembre 2023 une société anonyme dénommée
Ateliers de la Motobécane. Elle reprend l’objet de
la société antérieure auquel est ajouté la construction
et la vente de moteurs, groupes électriques, motopompes
et de tous les appareils dont la construction et le
montage ont des analogies avec ceux des machines ou
objet qui viennent d’être indiqués ; l’acquisition, la
construction, la prise à bail, la revente et
l’échange de tous immeubles, magasins, ateliers fond de
commerce, etc. ; la participation directe ou indirecte
çà toute entreprise ou opérations commerciales ou
industrielles se rattachant à l’objet de la société et
ce, par voie de société nouvelles, d’apports de
souscriptions ou achats de droits sociaux, fusions,
alliances… Le fond social est fixé à la somme de 500 000
F divisé en 1 000 actions de 500F.
MM Bardin et Benôit apportent le
bail et les bénéfice de la promesse de vente contenue
dans le dit bail pour 1F (symbolique), l'outillage et le
matériel de toute nature (50 000F), les matières
premières (395 000F), les espèces en caisse (7 013F),
les fonds en banque (219 100F), les effets en
portefeuille (123 244F), les
créances (312055), représentant une valeur de 1 106 424
F. Mais ces apports sont grevés d’un passif d’un montant
global de 856 424F dû aux divers fournisseurs
(478 404F), pour commission (13 255F), ristournes à
acquitter (87 000F) et paiement à effectuer (277 765F).
M. Benezech apporte à la société anonyme des
Ateliers de la
Motobécane,
le brevet, la marque de fabrique
Motobécane
et les droits qui s’y rapportent pour un montant évaluée
à 1F – tout aussi symbolique !
MM. Bardin, Benoît et Benezech
déclarent se désister définitivement de tous droits de
privilège. Pour leurs apports ils reçoivent 500 actions
entièrement libérées réparties comme suit : 240 pour M.
Badin, 240 pour M. Benoît et 20 pour M.
Benezech. La répartition des bénéfices sera extraite
des bénéfices nets à hauteur de 30% qui seront
divisés en 1 200 parts dont 240 pour M. Bardin,
240 pour M. Benoît et 120 pour M. Benezech
et 100 pour M. Pierre Doranjou.
Les 500 actions donnant droit à 500 parts sont
distribués aux souscripteurs, à savoir : MM Jean,
Jules, Eugène Terouache, né le 18 juin 1890 au
Mans (Sarthe) ; Henri, Léon Marchal né le
9 décembre 1893 à Commercy (Meuse).
Cent parts sont remises à M. Pierre Doranjou à
titre de rémunération personnelle du concours que ce
dernier a fournir en vue de la constitution de ladite
société.
Enfin, le premier conseil d’administration nomme au
poste de directeur général M. Abel Bardin, les
autres associés sont tous administrateurs.
Le 31 janvier 1925 à 11 heures au greffe du
Tribunal de Commerce de la Seine (n°75732), MM.
Bardin (Abel) et Benoît (Charles), 25, rue de
Foucroy, Paris, et 3, place de la République,
Villemomble (Seine), déposent la marque Motoconfort
sous le N° 230.300 pour désigner des motocyclettes.
Lee 26 décembre 1925, MM., Bardin, Benoît,
Terouache et Benezech s’associent pour créer
une société anonyme par action dénommée : Société des
Ateliers La
Motoconfort
au capital de 800 000 F sise 3, rue Hoche à Pantin
dans l’ex-usine S.I.C.A.M. Or, la première résolution du
conseil d’administration est de procéder à la
rectification du registre analytique, rectification qui
ne peut être effectuée que par un notaire et au vu d’un
procès verbal notarial. Le greffe rayera les noms des
personnes citées supra et ratifiera du mot « erreur ».
Ainsi, il est créé officiellement entre M. Benezech,
Maréchal, Darangon et Georges de
Grenier Latour né le 5 février 1899 à Marseille, la
Société des Ateliers La
Motoconfort,
42, rue des Grilles à Pantins pour la
construction et la vente de motos et cycles à moteur,
motos pompes…. M. Abel Bardin est nommé directeur
général de La
Motoconfort.
On aura noté que Georges de Grenier Latour eut
des rôles d’importances variables dans la société Terrot,
consortium créé par Alfred Vurpillot en 1919, avant de
devenir l’associé d’Abel Bardin le 26 octobre
1950 (Didier
Mahistre).
La POLYMÈCANIQUE
M.p désigner toutes fabrications mécaniques se
rapportant à l'automobile l'aviation, le cycle, la
motocyclette et l'électricité : machines et appareils
divers et leurs organes ; déposée le 22 juin 1928, à
15h00, au greffe du Tribunal de commerce de la Seine (N°
25513), par M. Bardin Abel, 25 rue Foucroy, Paris
(Didier
Mahistre).
Lire le
document complet de Didier Mahistre (en cliquant sur
le lien ci-dessus)
Histoire de Motobécane
La première Motobécane
de 175 cm3 à courroie fut réalisée rue Beaurepaire à
Pantin.
La MB1 Motobécane (Michel)
MB1 Motobécane
(José)
MB1 à boite de vitesse Motobécane (José)
Version Femme
Cette Motobécane
sera fabriquée sans modification à plus de 10.000 exemplaires.
Le succès surprit les deux fondateurs. Après deux ans
d'exploitation de la Motobécane, il fallait
concevoir un nouveau modèle, La
Motoconfort
308 MC1.
Pour éviter le même nom, une nouvelle Sté fut créée tardivement en
1926 Motoconfort Dorénavant les modèles
Motobécane seront photographiés côté gauche et les
Motoconfort côté droit, servant ainsi les deux
catalogues en portant un marquage différent.
1924/1929 la Motobécane, 1930/1939 les blocs moteurs types B
et S, 1930/1939 Les bicyclettes à quatre temps et
bicyclettes, 1939/1946 la guerre et l'occupation,
1945/1949 D45, Z46, R46, Z2C et le prototype de
la Mobylette, 1950/1966 la Mobylette,
1950/1964 Scooters, Vélomoteurs, Motos, 1966/1980
Cyclomoteurs et 80 cm3.
T1 Motoconfort 1929
"Retour en
1969 de la marque à la moto" (E-T-A-I)
Prototype 125
Motobécane
1969
Voici la photo du 1er prototype de la 125 Standard
Motobécane
Ce premier modèle de présérie de la 125 Standard Motobécane
est différente de la version définitive. La selle est
lisse, les combinés (amortisseurs) ont leur ressort sous un cache
chromé, les moyeux de freins sont des Maillard à la
place des Grimeca et le boîtier de filtre à air n'a pas
sa forme définitive. Nous pouvons remarquer les 5
visseries de fixation du carter du volant magnétique.
Présentation de la 125 Standard
Motobécane sur l'avenue des Champs Elysée
Sur ces deux photos, il y a une différence. Sur la photo
noir et blanc, c'est le prototype (voir carter v.
magnétique) et sur celle en couleur une autre évolution
du prototype avant la version définitive.
Fin 1969, la Motobécane "125"
était présentée aux agents de la marque et à la presse
spécialisée marquant le retour de notre N°1 à la moto,
le terme exact de "vélomoteur" cadrant mal avec ce
bicylindre à cinq vitesses.
125 Standard Motobécane
(M.
Le Baron)
Ballade en Standard (Ganneau)
125
Standard Motobécane
Produite en série dans l'usine de St Quentin, cette
machine sous l'appellation "125
Standard",
subissant au cours de ses premiers mois de production
quelques modifications d'embrayage et recevant des
culasses avec filetage pour bougies à culots longs (à
partir d'avril 1971) ainsi que des pistons à calotte
renforcée, nécessitant le montage d'une cale de 1 mm
d'épaisseur sous le cylindre pour maintenir le taux de
compression à sa valeur initiale.
Par la suite, de nouveaux pistons permirent de ne plus
monter de cale sous le cylindre. Parmi les
autres modifications apportées peu après la naissance de
cette 125, notons les silencieux recevant des
emboutis permettant de rehausser la béquille centrale,
ce qui évite à celle-ci de toucher dans les virages, la
garde au sol passant de 10 à 13 cm.
Les autres modifications apportées au modèle "
Standard"
sont identiques à celles rencontrées sur les modèles L et LT.
125 Luxe Motobécane
(Alain R.)
Année 1971, apparaît la
125 Luxe. Par rapport au modèle "Standard",
il se différencie par :
Un équipement électrique plus complet, avec batterie de 6 V,
clignotants et dispositif de recharge batterie
comprenant redresseur et régulateur constitués par une
diode avec dissipateur thermique.
Salon du 2 roues Italien mai
1973
Photos en exclusivité.
La 125 Luxe Motobécane sur son podium de Cédric C.
Copyright © tous droits réservés 2013
(Docs Allemand de Volker Tamm)
Copyright © tous droits réservés 2013
(Docs Allemand de Volker Tamm)
125 Luxe exportée pour l'Allemagne avec un feu arrière de Mobylette
(Présentation
magazine Da Motorrad 1972)
Mars 1972, apparaît la
125 LT. Extérieurement, ce modèle se signale par une nouvelle finition. À
la place de l'émaillage rouge cerise métallisé, nous
trouvons au choix un bleu Pyrénées, un vert Normandie,
un orange Roussillon.
125
LT Motobécane
125 LT Motobécane
Les
modèles
L
et
LT
reçoivent à partir de février un dispositif appelé
M.O.V. qui amène une régulation de tension dans
l'alimentation des blocs électroniques. En avril, les
éléments de suspension arrière non réglables de marque
Aert sont remplacés par des éléments Telesco
réglables sur cinq positions. En mai, montage de pistons
forgés avec segment supérieur en L. Montage de nouveaux
blocs électroniques rectangulaires, nouvelles bobines
H.T. rondes, dites à air, et nouveaux capteurs.
Tableau de bord
125 LT exportée pour l'Allemagne avec un feu arrière de Mobylette
(Présentation magazine Klassik Motorrad)
Année 1972, au salon du motocycle, Motobécane présenta, une 350 à trois cylindres (2 temps).
Véritable, Photo de presse ( merci à
Sylvain Pitaul
de m'avoir vendu celle-ci)
Année 1973,
le modèle
LT1
bénéficiera de toutes les améliorations précédemment
énumérées. En outre, la puissance est portée à 16 ch
DIN, nouvelles culasses aux ailettes plus carrées.
(Thomas
P.)
125 LT1 Motobécane
(cylindres
ronds)
Fin 1973, la gamme des 125 comprend la
LT1
et la LT2, apparue au salon de Paris, mais dont la sortie n'a eu lieu
effectivement que fin février 1974.
Première génération Seconde
génération Troisième
génération
Évolution des culasses qui furent successivement montées
Les LT1 et LT2
reçoivent un nouveau couvercle d'embrayage et un graissage séparé
avec pompe à débit variable en fonction de l'ouverture
des gaz (LT2).
125 LT1
Motobécane
neuve
(cylindres
carrés)
125 LT1 125 LT2
(graissage séparé) 125 LT1
125 LT2
graissage séparé (repérable à son filtre à huile sur le garde boue arrière
et le long
du cache batterie)
L'Année 1974, Motobécane, a livré en petite série une 125 compétition client, dénommée
125 S.
Publicité de la 125 S et la 125 S d'un passionné
L'année 1975 devait être marquée essentiellement
par la sortie de la
LT3,
très remaniée esthétiquement et techniquement, puisque
sur cette 125, on trouvait un frein à disque Grimeca
, une nouvelle fourche télescopique Ceriani, un
nouveau réservoir, garde boue avant, peint (voir photos version
définitive),
compteur, compte tours.
Salon en Italie (1974)
125 LT3
Motobécane
de présérie
Il
faut noter que cette
125 LT3
Motobécane de présérie, avec sa première
décoration, avait repris la configuration de la
LT2
à graissage séparé (ancien réservoir, biplace, poignée de béquillage, clignotants avant
placés à l'arrière de la fixation du phare et le feu
stop).
On aperçoit bien le système de graissage séparé de la
LT2 le long du carter de batterie et du garde boue arrière. Pour la
décoration du cache de la boite à air, ainsi que le
monogramme 125 du cache batterie, ils seront différant
sur la version définitive.
Véritable, Photo de presse (merci à
Sylvain Pitaul de m'avoir vendu celle-ci)
1er modèle
LT3
Le premier modèle
LT3
Motobécane se différencie du second modèle par :
(voir photo ci-dessous)
Clignotants avant fixés à l'arrière du support de phare.
Klaxon.
Biplace.
Monogramme 125 (cache batterie) et sur la seconde version 125
électronique.
Poignée de béquillage.
Feu stop.
Modèle définitif
LT3
Bleu Pyrénées
Orange
Roussillon Vert
Alpage
Bleu de
France Grise
(Twin)
Salon de la Moto Paris 1976
Stand Motobécane
Michel P.
(Copyright ©)
125 LT3 : Le défi
Français
face aux Japonaises
Petite histoire
Motobécane,
il y a quelques années représentait une part importante
du marché de la moto en France. Puis peu à peu, ce fut
la vogue de l'auto, tandis que les motos tombèrent dans
l'oubli et que les acheteurs devinrent rares. Bref, le
marché de la moto fit le plongeon ; et Motobécane
cessa sa production.
Rassurez vous cependant ; Motobécane se
reconvertit et devint alors le leader mondial du marché
du cyclomoteur, avec ses célèbres "Mobylettes".
Mais les ingénieurs continuèrent à travailler sur les
motos afin de ne pas perdre la main, pour le cas ou ce
serait nécessaire ; et aussi parce que chez
Motobécane, on aime les motos.
L'heure de la riposte
Comble de malchance, quand la mode de la moto, via les
U.S.A et la Grande-Bretagne, frappa en France la
nouvelle vague, les japonais passèrent à l'attaque avec
succès. Mais attention, l'heure de la riposte sonne.
Motobécane met sa puissance au service de la technique et lance la parade.
Les chaînes sont prêtes.
Voici la
125 LT3 Motobécane
La machine
La
LT3
est une 16 chevaux. Cherchez plus puissante en 125
cm3 si vous voulez. Elle est équipée d'un allumage
électronique à décharge de condensateur ; voilà une
réplique aux gadgets. D'autre part, elle possède, un
frein à disque à commande hydraulique et deux
carburateurs " Gurtner "de Ø 19 à cuve commune.
Bien sûr, c'est une cinq vitesses et à graissage séparé.
Sur la plateforme, elle est incontestablement ce que
l'on peut appeler une machine " efficace, une grande
routière". Un banc d'essai célèbre donna les meilleurs
résultats en vitesse de pointe, accélération, et
souplesse, face aux trois "stars" Japonaises.
En ce qui concerne la partie cycle, elle possède un
cadre double berceau, pointe de la technique
Motobécane, dans le domaine ; mais son poids ne
dépasse néanmoins pas les 92 kg. Là encore Motobécane
lance le défi. Quant à la consommation, elle mérite,
elle aussi une mention : elle est faible pour un "deux
temps" preuve de la grande souplesse de la
LT3,
et de la qualité de ses carburateurs. Le réservoir fait
13 litres, ce qui est, pour le moins copieux.
Enfin, pour la suspension, la fourche télescopique
avant est une fourche "Cériani" et les
amortisseurs arrières sont réglables. La
LT3
supporte toujours les comparaisons.
N'oublions pas non plus d'ajouter à cela le bas prix des
pièces détachées, de - 20 à - 30 %, meilleur marché et
l'omniprésence du service après vente : 3 200
concessionnaires exclusifs et 10 000 agents. Vous ne
risquerez pas d'attendre vos pièces détachées pendant
trois mois. Voire plus.
LT3 Motobécane (Bleu de France)
avec sélecteur à gauche
******************
Fabriquée jusqu'en 1980, les derniers modèles seront
vendus au compte goutte et peints en gris et avec des
décors rouges. Elles seront équipées du moteur
initialement destiné à la future
LT4 qui ne sera jamais produite. Le moteur est identique au précédent,
mais le sélecteur est inversé du coté gauche et le frein
à droite. Quelques moteurs seront vendus pour la
réparation. Des roues en alliages léger de marque
Grimeca seront proposées en option.
Facture de vente d'une LT3
grise (Jean
Chtistophr P.)
125 LT3
Motobécane sélecteur à gauche
"option,
roues en alliage léger"
125 LT3
Motobécane
Tableau de production des
125
Motobécane
(Patrick
Barrabes)
Tableau d'identification
125
Motobécane
Motobécane lance la version
LT3 coupe en 1976. Puis en 1977 la coupe Motobécane
étant reconduite, une version très légèrement différente
de la
LT3.
LT3 Coupe tôle
Motobécane
1976 LT3
C
Motobécane
1977
polyester (Laurent)
Coupe
Motobécane
Version 1977
Regroupement des deux marques Motobécane
Le 10 décembre 1976 au cours d'une assemblée générale, les
actionnaires ont décidé que désormais, les produits
distribués sous les deux marques
Motobécane
ou
Motoconfort
seront fabriqués sous la seule marque unique
Motobécane.
Document extrait de Motobécane
Information
Motobécane
présente sur son stand en janvier 1977, cette très jolie 175
quatre temps sport qui pourrait bien signifier le
retour de la marque de Pantin au moteur à soupapes.
Cette 175 satisfera plus d'un amateur ! Aucune donnée
technique n'a pu être obtenue ce qui permet d'en
conclure que c'est un prototype.
175
Motobécane à soupapes (M.
J.)
Cette machine, la 175 Z 22 fut construite par Motobécane
à partir de 1949, elle servira de base de travail pour
les machines de trial en 200 cm3 qui en 1962 furent
championnes de France. Sur cette moto, seul le moteur et
le cadre sont d'origine, tout le reste est de
l'accessoire moderne : fourche à grand débattement,
amortisseurs Télesco, pneus Michelin, carburateur DE
LL'ORTO. Cette machine fut testée sur le circuit de
Folembray
Essai sur le circuit de Folembray
Cette 175 a été remisée au goût du jour par M. Bréant et présentée
sur le stand Motobécane
en 1977
125 LT4
MOTOBECANE
Cette future
125 LT4
Motobécane
complètement redessinée
recevait un volant magnétique de 100 watts afin de supporter un
phare à iode. Son moteur, délivrait 16 ch avec une
admission à clapets. Elle ne sera jamais produite.
(Musée
Motobécane)
125 LT4
Motobécane
avec phare à iode
"Jamais
produite"
125 LT4
Motobécane
sans phare à iode et tableau de bord différant
"Jamais
produite"
Moteur
125 LT4
Motobécane
"Jamais produite"
En 1981,Motobécane déposa le bilan, puis fut racheté par Yamaha
qui continua sous la marque
MBK.
Aujourd'hui
des passionnés entretiennent et restaurent ces machines
Françaises et nous permettent de les contempler lors
d'expositions et de rencontres.
Merci à
tous, pour la sauvegarde du savoir faire Français
et de notre
patrimoine.
Merci à tous ceux qui, par l'apport de documents photographiques,
m'ont permis de construire ce site.
Coordonnées du créateur et Webmaster du
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Ono-Dit-Biot
Jean-Pierre
06.13.08.09.76
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